Qui êtes-vous ?

DownToMissJones - Insatiable et persuadée. La complexité simple ou la simplicité complexe. Langue en bouche ou langue de cannes.

16 juin 2008

In the arms of an angel

Spend all your time waiting...
For that second chance.
For a break that would make it okay.

There’s always one reason To feel not good enough,
And it’s hard at the end of the day.

I need some distraction. Oh beautiful release!
Memory seeps from my veins.
Let me be empty And weightless and maybe I’ll find some peace tonight.

In the arms of an angel...
Fly away from here.
From this dark cold hotel room And the endlessness that you fear.
You are pulled from the wreckage...
Of your silent reverie.
You’re in the arms of the angel...
May you find some comfort there.

So tired of the straight line And everywhere you turn.
There’s vultures and thieves at your back...
And the storm keeps on twisting,
You keep on building the lieThat you make up for all that you lack.

It don’t make no difference.

Escaping one last time.
It’s easier to believe in this sweet madness ohThis glorious sadness that brings me to my knees.
In the arms of an angel,
Fly away from here From this dark cold hotel room And the endlessness that you fear.
You are pulled from the wreckage Of your silent reverie.
You’re in the arms of the angel.
May you find some comfort here.

Sarah McLachlan - Angel

Un génie créateur, une très grande chanteuse que j'admire, à son meilleur, cette chanson vient me chercher très fort à l'intérieur.
Je la trouve appropriée à ce qui se passe dans ma vie, en plus d'être une de mes favorites.
Je voulaisse vous enivrer comme je le fais et je vous souhaite de retrouver "some comfort here".

Je la dédie à tous ceux qui ont déjà perdu quelqu'un...

Vidéo sur youtube.com : http://www.youtube.com/watch?v=7CbAjj80NIM

15 juin 2008

Un week-end ordinaire (prise 1)




PENSÉE : "Citer les pensées des autres, c'est regretter de ne pas les avoir trouvées soi-même"- S. Guitry

Conclusion d'une fin de semaine "fo-folle" :

Vendredi : Spectacle de Stéphane "Grrrr-je-te-mangerais-tout-cru" Rousseau et nous nous sommes marrées ma soeur et moi ! Appel de Mister "Smile" et ... ça ne sera pas ce soir. Tant mieux! Je ne suis pas vraiment prête à rencontrer des gens sérieux! Sérieux? Euhhh.
Par la suite, petit verre avec les copines et les dramas de nos vies! Quelques cloches à l'écran et devinez qui s'est fait 500 $ ?
Moi!

Samedi : Devinez qui a fait plaisir à bien des gens et dépenser 500 $ ?
Moi!
Appel de Mister "Jack" en soirée.

Dimanche: Isabelle Boulay a bien raison; "Le plus fort c'est mon père." Je dois admettre que j'ai câliné mon père. Toujours aimant avec moi comme ma maman, cet homme a toujours su "être un homme"! Je reviendrai là-dessus un de ces 4!
Mon retour d'appel de Mister "Jack" n'a rien donné.
Il n'a pas répondu. Évidence.
C'est mieux comme cela. Je ne veux pas vraiment savoir ce qu'il avait à me dire. C'est trop tôt, je ne veux pas lui reparler. Je commence à l'oublier et je ne veux pas replonger. Au fait, j'espère l'éviter au moins jusqu'à cet hiver.

Je réalise enfin que nous étions deux cons. Je réalise que dans la vie, je vois souvent des gens se quitter. J'en vois les raisons. Quand je pense à nous 2, je ne comprends pas pourquoi deux personnes comme lui et moi devaient se quitter. Se quitter pour effacer le mauvais temps de cet hiver, oui. Se quitter toute la vie? Non!
Nous sommes fait l'un pour l'autre.
C'est con, n'est-ce pas?
Et bien, je m'en suis rendue compte, il ne s'en apercevra jamais. Quoi dire de plus ?
C'est là qu'on se rend compte que l'amour est définitivement une question de choix.
Et la vie continue.
Et la vie continue.

13 juin 2008

Hymne à l'amour

Le ciel bleu sur nous peut s`effrondrer,
Et la terre peut bien s`écrouler.
Peu m`importe si tu m`aimes,
Je me fous du monde entier.

Tant que l`amour inondera mes matins.
Tant que mon corps frémira sous tes mains.
Peu m`importent les grands problèmes,
Mon amour, puisque tu m`aimes...

J`irais jusqu`au bout du monde,
Je me ferais teindre en blonde,
Si tu me le demandais...
J`irais décrocher la lune,
J`irais voler la fortune,
Si tu me le demandais.

Je renierais ma patrie,
Je renierais mes amis,
Si tu me le demandais.
On peut bien rire de moi,
Je ferais n`importe quoi,
Si tu me le demandais...

Si un jour la vie t`arrache à moi,
Si tu meurs, que tu sois loin de moi.
Peu m`importe, si tu m`aimes,
Car moi je mourrai aussi...

Nous aurons pour nous l`éternité.
Dans le bleu de toute l`immensité.
Dans le ciel, plus de problèmes...

Mon amour, crois-tu qu`on s`aime?
Dieu réunit ceux qui s`aiment.

Hymne à l'amour - Édith Piaf (1949)

11 juin 2008

Que du neuf !

PENSÉE : "Une des premières choses de l'homme, c'est sa fureur pour la nouveauté. Deux grand mobiles font agir l'homme ; la peur et la nouvauté" Machiavel


Vent de nouveauté souffle haut et fort ...

Nouvel emploi débuté aujourd'hui.
Verdict : Intéressant ... mais le temps est long, belle équipe et j'ai hâte de voir le chèque de paie!
Un peu loin de la maison mais bon, je déménage bientôt dans un superbe petit appart dans le centre!

Nouveaux vêtements : Une tenue plus sophistiquée, des robes et des vêtements chics et urbains ; classique pour un nouveau look "femme d'affaire épanouïe!"
Fini le "rassembler à rien" et les "gros décolletés ! "
Bienvenue à la nouvelle féminité de Miss Jones !

Nouveaux flirts : Hélas ! Au pluriel ! C'est l'été !!!
Malgré tout, une certaine personne venant de faire son entrée me ravie. Mister "Smile", à suivre!

Nouvelle fraîcheur : Je me porte à merveille, je sourie à nouveau et la vie est belle !

10 juin 2008

Et l'insomnie est !

Présente ce soir.
Je préfèrerais dormir, je commence mon nouvel emploi demain et je suis très motivée.
C'est fou de penser que ce sera peut-être l'endroit où ma carrière sera et où je m'épanouierai.

En attendant, je re lis mes textes "1 et 1/2".
Je les trouve extra. Pour une fois.
Plus le temps passe, plus je le sens me toucher et me faire l'amour. Plus ça devrait être le contraire? Non? Bizarre !
Comme diraient les copines: " La meilleure façon de se débarasser de cette nostalgie c'est de faire en sorte qu'elle ne soit pas la dernière personne à te toucher!" ... et elles ont raison!
Mais cela ne suffit pas à aire taire la nostalgie de ce qui était "bon."
Je me surprends à relire celui du 4 avril et je me perds dans la nostalgie.
Je mérite de me tapper sur les doigts !
Je n'arrive pas tout simplement pas à croire que je puisse ressentir comme si cela était devant moi, avec une telle précision tous ces textes que j'avais écrit, comme dans un jardin secret, notre histoire que je finirai peut-être un jour d'écrire, qui est décousu et dans un sens chronologique innaproprié.
Mon journal intime. Je suis hypersensorielle !
Je retourne dormir car "il le faut Monsieur!"
Bonne nuit.
Allez Miss Jones, "suene con los angelitos."

Cher toi

PENSÉE : "Écoute ton coeur. Il connait toute chose. Parce qu'il vient de l'âme du monde et qu'un jour il y retournera." -Paolo Coehlo


Cher toi,

Bien avant juin j'ai écrit de jolis mots sur ce site, mais ces derniers jours ont été déterminants dans mon soulagement.

La tempête a cessé ; tourments, rages, envies et folies se sont terminés.

"Je n'étais pas bien."
Voilà les doubles explications. La mienne, la tienne.
Pourquoi?

Manque de confiance en soi, déséquilibre, fatigue, paressesse et ennui. Lourdeurs, redondances, envies de perfection, voir ailleurs.

Je t'ai aimé car je n'ai jamais été aussi bien ; d'un naturel à tes côtés, ton goût du positivisme comme le mien, ton goût de l'aventure, ton goût de moi, pour ta vérité, ta Foi, ta volonté, tes pensées et notre complicité.
Un jour tout cela a été.

Lorsque je n'ai pas su être présente, tu t'es enfuis, et lorsque je suis revenue sûre, il était trop tard tu étais parti, de peurs, de doutes, de manque de cofiance en moi et en mes qualités.

En route, ils se sont tous égarés à travers nos péripéties mouvementées.
Toujours présentes bien qu'enfouies, il aurait fallu se séparer pour les laisser remonter, mais la colère et la fuite l'ont emporté.

J'allais te quitter pour te permettre de revenir à tes idées, mais tu l'as fait le premier.
Dans l'espoir de te voir revenir, sachant ce que tu veux et prêt à t'investir, par mes actes et mes mots, je n'aurai fait que te faire fuir.
Je t'ai harcelé et je t'ai affronté car je me sentais désabusée, lorsque dans le fond je ne voulais que te tester et à m'assurer que ton coeur ne puisse plus jamais m'aimer et que tu puisses m'oublier.

Je reste convaincue qu'à travers nos mécontentements, que nous nous aimions passionnément.
Amour, envie, sexe et compléments.

Le cercle dangereux trop envahissant, nous avons succombé aux doutes passant.
Les mésaventures se répétant, nous nous sommes séparés inévitablement.

Je porterai quelques temps en moi le fruit d'un amour dont tu n'auras jamais conscience.
Maintenant, je me sens mieux et libre loin de ces peines incessantes.

Trop entrain de vouloir que tout soit parfait, l'imparfait, lui, n'a fait que se montrer.
Près de toi j'ai voulu rester, car m'a foi et ma confiance m'ont guidé.
Bien que tu n'as pas plus su m'aimer et vouloir m'aimer, un moment donné.
Normalité, car je n'ai pas pu être moi-même avec toi dans ma personnalité.
"À revendre" tu m'as déjà qualifié, mais je crois qu'en route tu as oublié.
Tu n'étais pas le premier, je m'étais oublié.
Tout ce qui nous a assemblé.

Je te souhaite une femme que tu vas aimer en arrêtant de la chercher, mais je crois que cette femme est déjà sous ton nez.
Un autre souhait désiré, à toi, à elle, celui d'une belle vie animée, de bonheur et de santé.

Je ne suis pas cette femme que tu as tant espéré.
Pourtant relisant tous ces mots et reculant, je vois que je peux me tromper.

Qu'enfin tu saches que l'on choisit l'amour, c'est de cette façon qu'il dure pour toujours.

Je t'ai aimé et supporté d'une attention surdimensionnée.
Je l'ai voulu et je suis heureuse de l'avoir donné, bien que je n'aille pas compté.

Pour conclure, ne vie plus à travers ce passé et n'oublie jamais quelqu'un que tu as mis de côté, ce Dieu adoré.

Mon coeur tu as brisé, après tant de découvertes sur tous mes côtés menant à t'aimer.
Ma confiance tu as gâché, par ton indifférence et ta façon de te cacher.

Sauras-tu un jour me pardonner d'avoir eu du mal à accepter de te quitter, tout en n'ayant pas su comprendre ce que tu as tant souhaité au moment approprié?

Sincèrement,

Tes bras me manquent , ton sourire, me blôtir contre ton cou et sentir ton être me pénétrer dans ce qui est chaudement le plus profond de mon intimité, tes "coucous" et ta vraie personnalité, cet homme qu'un jour de mon mois préféré j'ai rencontré, me manque tous les jours bien que je sois prête à refaire mon présent, l'avenir. Je sais que je ne pourrai jamais plus t'approcher, c'est pourquoi je serai heureuse un jour de contaster que tu es de nouveau à aimer, une femme qui fera rééellement battre ton coeur, une femme de courage, une femme d'esprit, de respect et de reconnaissance. À elle tu pourras tout donner.
Pour ma part, je tenterai un dernière fois d'imaginer. Je sais que je ne suis qu'une page d'un passé qui nuit à ton avenir, tu ne veux plus rien savoir et j'ai accepté.

Je te pardonne.

9 juin 2008

Une soirée d'abandon

PENSÉE : "Le hasard, ce sont des lois que nous ne connaissons pas" -Borel

Je relaxe après toute une journée hier : Terrasses Bonsecours dans le Vieux Port, After hours, etc.

Ce matin en revenant, nous avons écouté un film britannique "Love", dans lequel il expliquait quelques règles ou philosophies de vie qui font parties de moi et dont j'ai été heureuse de me rappeler :
1) L'amour est un choix.
2) L'amour est un processus.

Je n'ai jamais cru au coup de foudre, vous le savez bien.

Aujourd'hui, je suis heureuse. J'ai fait la paix avec l'amour.
Encore une fois.


8 juin 2008

Je le déteste

Je le haïs.

Je le déteste pour son manque d'empathie. Je le déteste!
Je n'aime pas le fait qu'il soit perdu dans la vie.
Je déteste sa façon de fuir et de ne pas faire face à ce qui arrive.
Je le déteste pour son impulsivité et sa méchanceté.
Je le déteste pour son ignorance.
Je le déteste car il me fait me détester.
Bref, je le déteste.

7 juin 2008

Faire le bon choix

PENSÉE : " Ce n'est pas car l'on est certain de faire le bon choix qu'il est le meilleur."

C'est en plein ça.
Pour ma part, ça va. Entre deux rush, j'essaie d'oublier les tracas.
J'aimerais oublier que je m'ennuie.

Je suis convaincue que nous avons fait le bon choix. Non ... ce n'est pas vrai.

Deux possibilités s'offrent à moi : tout faire pour revenir sur ce choix et foncer ou simplement laisser le temps passer et se souvenir qu'un jour on a pris une décision idiote!

Je ne peux pas être celle qui va revenir. Pas cette fois.
Peut-être qu'il le fera. J'ai une chance sur 2.

Entre vous et moi...
J'ai rêvé.
Vous connaissez mes dons pour le surnaturel. J'ai eu une prémonition.
Je nous ai revu ensemble avant la fin de l'été.

Dans ces moments-là, qu'est-ce que j'aimerais ne pas les avoir ces dons.

3 juin 2008

Mes défis pour le reste de 2008

Les défis, mes objectifs.
Apprendre sur soi.

Je dirais:

1) Être moins naïve
2) Être moins sensible
3) Maigrir (20 livres! et me mettre en forme)
4) Stopper ma rébellion perpétuelle envers la vie
5) M'habiller à la mode
6) Trouver l'homme de ma vie (en commençant par trouver seulement quelqu'un qui me traitera bien, ça sera déjà ça!)
7) Être heureuse au travail
8) Me trouver un bel appart et déménager !
9) Sortir clubber avec modération
10) Vérifier mes points d'intérêts généraux (Euhhhh, oui!)

Ça fait toujours du bien de se rappeller là où on veut aller. En ayant tout cela en tête, je garderai mon cap!

1 juin 2008

Les yeux fermés (ou voir comme un homme)

Aujourd'hui, je me défoule! Ma pensée, elle est plus bas.

Les hommes sont des abobinables créatures. Bon, voilà!
Je "beurre épais" comme dirait mon père.

Lorsque quelqu'un t'aime de tout son coeur : une belle personne, aimante, attentionée, supportante, prête à tout et qui réellement tient à toi ...
Vlan!
Tu la jettes, comme si elle n'avait jamais existé depuis tous ces mois, depuis tous ces efforts, depuis tous ces ...
Pourquoi?
Manque de confiance en elle ?
En elle ?
Non, en toi.
Les hommes doivent toujours voir si le gazon est plus vert chez le voisin ... là, je généralise.
Ils sont aveugles, ils ont peurs.

Si quelqu'un n'est pas bien avec toi par jalousie, c'est justement : cette personne personne est en réalité, folle de toi.

PENSÉE : "On ne réalise qu'une fois que l'on a perdu, ce que l'on a." -Proverbe espagnol.

J'ai aimé, pour une fois, un homme avec qui je voulais faire ma vie avec le grand "V". Après avoir essayé de tout lui donner, après n'avoir pas toujours compris (il n'avait qu'à être plus clair non? Il avait à ouvrir son coeur, non? Il aurait dû considérer que chaque personne e tunique, sans avoir de pouvoir divinatoire et que nous apprenons tous dans la vie, non?) il aurait seulement dû se laisser aller à aimer.
Il n'était pas prêt.
Moi je ne lui en veux pas, j'ai beaucoup appris , ÉNORMÉMENT appris de mes erreurs.
Mon prochain copain, il sera roi. Mais bon, c'est LUI que je voulais.

Il était temps que l'on se quitte au fait. Il faut parfois se quitter pour voir ce que l'on avait. Pour pouvoir enfin mieux revenir. Je sais qu'il reviendra.
JE NE ME SUIS JAMAIS TROMPÉE SUR MES INSTINCTS. Il reviendra.
Quand il sera prêt, enfin, à croire que je peux l'aimer, lui et lui seul.

1 mai 2008

Être heureux positivement!


PENSÉE :
"Les obstacles mis sur notre chemin sont toujours à la hauteur de notre capacité de les franchir!"

Aujourd'hui j'ai zappé et je suis tombée sur un de ces films américains des années 80 dont je n'ai même pas retenu le titre ni le nom des acteurs (désolée) que j'ai regardé pendant un bon ...10 minutes!

Il y avait une petite réplique qui m'a sonné quelques cloches et qui m'est restée en tête : " Je vivais une vie avec toi ou j'étais vraiment heureuse. Oui, j'étais heureuse négativement mais cela ne vaut-il mieux pas que de la vivre en étant malheureuse positivement...", dit-elle, après qu'il l'ait trouvé sur le point de le tromper, se défendant sur ses envies de se sentir jeune et désirer mais lui coofirmant toujours sont amour.

Devinez ce qui s'est produit par la suite ? D'accord, j'ai réfléchit à savoir si j'en saisissais bien le sens et tout mais ... Oui! Je me suis demandée s'il m'était arrivée ou si j'étais en train de vivre heureuse et négative ou malheureuse de façon positive à essayer de faire en sorte de me brûler à rendre les choses belles et roses!

En somme, je n'ai même pas envie d'y réponde. Je crois qu'il m'arrive parfois de faire les 2.
Par contre, j'ai la capacité du recul qui fait en sorte que je peux regarder et me connaître à savoir, à ce jour, si le choix de mes actes font mon bonheur! On apprend tous!

17 avril 2008

Le bonheur

PENSÉE : " Le bonheur ne s'écrit pas, il est comme les étoiles filantes : celui qui ne le voit pas ne le verra jamais. " - H. Aggoune

Ou ... ira voir s'il est plus vert sur le terrain du voisin!
Sans farce, qu'est-ce que le bonheur? Où se situe-t-il?

Tout d'abord, je crois qu'il est dans les choix que nous faisons.
Là où se connaissant ou croyant se connaître nous sommes aptes à juger de ce qui est bon pour nous.

Pour ma part, je suis " jeunesse" mais j'ai vécu assez d'expériences diverses et même "hallucinantes" pour savoir où il se trouve... du moins en amour.
Il y a des gens qui cherchent toute une vie pour ça!
Les autres sphères de ma vie ? J'y travaille.

Cete pensée est très véridique, ouvrez les yeux plus grands!
Et en passant, les ouvrir très grands derrière un masque ... on n'y voit toujours rien!

12 avril 2008

Kundalini






Lors d'une discussion sur les vibrations du corps avec un collège, j'ai découvert un nouveau chakra : le kundalini.


Il parraît que ce chakra est le cycle des vibrations de notre corps qui montantes et/ou descendantes, nous amènent "ailleurs," là dans cet "autre univers" qui nous connecte à nous-même et qui enous rappelle le "nirvana." Atteignable lors de relations sexuelles ou lors d'événement "intenses," c'est ce qui nous rapproche le plus à un "autre niveau de conscience."


Pour en savoir un peu plus sur ce grand voyage, j'ai fait une petite recherche sur mon bon ami Wikipédia...

Kundalinî:
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis
Kundalini)


<< Yoga qui désigne une puissante énergie qui se trouverait lovée dans l'os sacrum. Elle est représentée comme un serpent enroulé sur lui-même trois fois et demi. Par la pratique de la méditation, la Kundalinî s'éveillerait et monterait le long de la colonne vertébrale depuis l'os sacrum jusqu'à la fontanelle, progressant d'un des sept chakras à l'autre afin de les harmoniser un à un. La Kundalini est indifféremment désignée comme "énergie vitale", "énergie sexuelle" ou "énergie divine" selon les auteurs qui l'emploient et la tradition qui l'utilise. Le terme ancien, Kundalini Shakti, issu du tantrisme, est aujourd'hui employé fréquemment dans le courant New Age.
Le déploiement de la Kundalini conduirait à l'
éveil spirituel du pratiquant et à la plus haute conscience de soi.
Diverses pratiques proposent d'éveiller ainsi la Kundalini, dont le
Kundalinî Yoga. >> (http://http://fr.wikipedia.org/wiki/Kundalini)


Donc, le kundalini est associé à la "force de toutes les forces" et à la "conscience universelle." Elle nous aide, nous guérit et nous améliore.

Il semble que parfois les vibrations puissent être visibles à l'oeil nu!!! Comme vu sur Shri Mataji, grande praticante de ce type de yoga!

Mot de la fin : Je vous souhaite à tous de vous connecter à ses vibrations et d'atteindre ce niveau d'extase. ;-)

Si jamais vous y arriver, parlez-moi en!
Images photos : sahajayoga.ca

10 avril 2008

Malentendu


PENSÉE : "Dans une dispute il y a deux bouffons ; dès que l'un cède, les deux y trouvent leur compte." - Proverbe chinois

Que dire de ce début de journée ! Difficile de se lever lorsqu'on est bien à ses côtés.
Je me lève.
Ce matin, premier malentendu. Deux personnes.

Il y en a une qui reste souvent fâchée.
L'autre qui ne souhaite que de réparer les pots cassés.

Ce que je me demande le plus, c'est pourquoi certaines personnes ont tant de mal à plier sur leur orgueil.

La vie, remplie de positif, ne vaut-elle pas que l'on s'arrête un instant, que l'on remarque qu'il y a plus grave que de rester "cloîtrer" dans nos idées fausses?

Apprendre à écouter ce que les autres ont à dire plutôt que de prétexter savoir ce qu'ils font... parfois compliqué.

"L'erreur est humaine, la conscience de cette erreur est à vénérer et il ne reste qu'au fautif à ne pas y replonger."

5 avril 2008

Un souffle


PENSÉE : "Visualise ta réussite" :

<< Dans la vie, tu es l'unique responsable de tout ce que tu vis et expérimentes. Qu'il s'agisse de ton humeur, de ton caractère ou de ta situation sociale, tout ceci n'est en réalité qu'une image projetée de ce que tu penses et imagines au plus profond de toi-même. Regarde autour de toi et observe. Tout ce qui existe en ce monde n'a-t-il pas été créé en pensée ? Il aura fallu que quelqu'un, quelque part, à un moment donné, visualise une idée qui, à force de travail, est ensuite devenue une réalité. Désormais, ne jette plus le blâme sur les autres et ne t'épuise pas à essayer de les changer. Tu te dois plutôt d'acquérir une attitude de confiance et d'optimisme face à la vie, en visualisant bien fort ton succès et ta réussite avec toute la foi, la détermination et la persévérance dont tu es capable. Entrevois la défaite, et l'échec sera ta récompense. Pense et imagine le succès, et tu réussiras. C'est d'ailleurs, là ta plus grande liberté, toi seul as le pouvoir de choisir tes pensées. >> -Auteur inconnu

Nous sommes samedi et ma journée s'annonce chargée.
L'attente sera longue jusqu'à ce soir où je sortirai dans un petit endroit branchée du Vieux-Port.
Sur ce, je vous laisse un petit texte intéressant, rempli de positif que j'ai lu en surfant. Je suis heureuse depuis ces deux derniers jours et de lire ce genre de philosophie qui renvoit au Karma me rappelle la force de la vie et la mienne. Le nom de l'auteur n'y est pas.
Bonne journée.

P.S. Merci à tous ceux qui m'écrivent pour me dire qu'ils sont devenus fan.
Bien que cela soit avant tout pour moi, vous m'encouragez et me faites grandement plaisir!

4 avril 2008

1 et 1/2

<< Ils s'étaient levés ensemble. Si naturellement ensemble. Par la fenêtre ils pouvaient croire que la tempête avait cessé. Ce vent incessant qui s'était abattu sur la ville n'était plus présent.

Pour une fois, ils étaient dans la lumière. Ces regards-là. Ils se regardaient sans cesse. Dans l'air flottait un soupçon de tranquilité et de joie. De ces taquines paroles ils se submergèrent. Celles qui remplissent l'atmosphère de vérité. Ils échangèrent ensemble de nombreux sourires.

Enfin, il lui souriait. Il la complimentait. Ce regard, celui d’une première rencontre. Celui du premier jour. Entre eux ce renouveau, il la caressait au passage. Comme deux cœurs non meurtris, deux cœurs d’enfants, où l’harmonie régnait. C’était calme, c’était reposant. C’était bon.

Par-dessus, ils ne devaient pas s'emporter. L'un comme l'autre.
Lily sait que si elle veut qu'il y ait une continuation, elle ne doit pas se presser.

Ce soir-là, il lui a tout avoué. Il devait le faire. C'était un « bon Jack ». Pour lui, pour elle, pour la promesse qu'ils s'étaient faite.

Son être tremble. Elle tenta de rester forte et de comprendre. Elle feignit de devoir se rendre à la toilette et elle lui cacha ses larmes.
Elle voulait qu’il la voit heureuse d’être à ses côtés. Jamais il n'aurait agi ainsi s'il n'avait été convaincu de ne plus jamais la revoir.

Dans sa chambre elle trouva plusieurs indices de cette autre femme. Un mot, un numéro. Il le prit, le frissonna et le jeta. Un sourire se mit aux lèvre de Lily et un sourire apparu aussi à celle de Jack. Ils ne dirent aucun mot.
Son âme fut plus atteint lorsqu'elle trouva ceux d'une nuit qu'ils passèrent ensemble lui et l'autre. C'était sa place, c'était son lit. Aurait-elle seulement souhaité que cette autre femme de rien, celle qui lui procura qu'un simple plaisir, une femme sur son passage, ne se retrouve jamais dans son lit. Leur lit. Leurs souvenirs.

Elle comprit pourquoi il l’a mise de côté. Ce qui devait le ronger à l’intérieur et les raisons pourquoi il l’avait fait. Qu’allait être le meilleur moyen de parvenir à sa fin? C'est que qu'il a choisit.

Cette nuit-là, ils en recréèrent un autre. Si fort souhaité qu’il allait être le début d’une longue vague de complicité lascive éternelle …

Il la regarda. Il la blottit contre le mur pour l’emmener à son lit. Il se pencha vers elle et qui le sentit vulnérable. Sa fragilité rejoint celle de Lily qui le redoute un instant. Elle était meurtrie mais n’allait pas freiner la passion qui l’habitait. Elle leva son visage vers le sien, pour s’abreuver comme à une source de vie, attendant la réponse d’un amour profond. Il se frotta à ses lèvres délicatement … >>

3 avril 2008

Tonight I'll be your star


PENSÉE : "La beauté des choses existe dans l'esprit de celui qui les contemple..."
Métro, boulot, dodo?
Quelle chance !
Au menu aujourd'hui : auto, boulot, dodo, Manago !.

Nous allons manger au Manago (Ancien Vieux Four) sur Sainte-Catherine près de Berri.
Resto-lounge rythmé par une musique "house."

Une grande partie des copains seront au rendez-vous !
Je vous raconterai cette superbe soirée après l'avoir vécu.
J'anticipe. ;-)

2 avril 2008

1 et 1/2

<< Lily ne voulait plus de lui. Il la répugnait. Les doutes la hantaient. Elle l'aimait et elle l'estimait. Jamais en mal n'avait-elle pas parlé de lui, ce génie créateur, tant dans son propre talent que dans la manière dont il la façonnait, et n'avait-elle pas tant encourager les autres à le reconnaître à sa noble valeur.
Le premier instant où elle l’avait rencontré, elle avait trouvé son monde.
Il y a longtemps qu'elle cherchait cette porte, cette fuite de cette prison dont les murs la cloîsèrent sans cesse au fil de ces deux dernières années.
Ça semblait clair.
Son ange était adorable mais mesquin. Bon et mauvais.
Elle ne voulait pas de lui.
Il habitait près du lieu où elle devait se rendre à chaque matin et cela lui évitait un grand voyagement dont elle avait la paresse.
Il savait être sage et être fou, tard dans la nuit et tôt le matin.
Il dégageait de lui la connaissance du monde qui la faisait rêver. Tous ses discours de lumière comme sur ses "rien" la rejoignaient et l’alimentaient.
Elle pouvait être elle-même avec lui. Elle l'était peut-être trop plus que de ne pas l’être assez.
Leurs forces de vie ils se partageaient.
Pourtant, elle savait que cela n'allait pas durer. Elle savait qu’elle le quitterait. À l'été suivant, probablement. Mais il l'eût quitté bien avant. Les doutes la hantaient.
Ce fruit, cette symbiose produite de leur chair les changèrent.
Entre temps, elle avait rencontré cet autre homme. Grand, fort, latin. Chevalier de son conte de fées préféré, ce prince qui était venu la délivrer de son repos non-paisible l'enivrait de tout ce dont elle ne pouvait plus s'approcher. S'approcher de celui qui était la cause de sa plus grande détresse.
Étrangement, ils étaient jumeaux. À croire qu'ils possédaient le même intellect, la même vision de la vie et qu'ils ne furent qu'un.
Elle se servit de l’autre, cet homme étant de passage, pour assouvir son goût de revivre pendant que celui qui partageait sa vie restait dans la noirceur.
Elle le laissa vite tomber.
Elle se réveilla enfin de cette chaleur.
Troublée, infidèle, Lily remarqua comment ce prince n'était que le reflet de celui qu'elle avait mis de côté.

À la radio passa cette chanson : "The scientist" par Coldplay. "Come up to meet you, tell you I'm sorry, you don't know how lovely you are..."
Elle comprit qu'elle devait le retrouver. Même cela s’avérait plus que difficile. Elle supplia la nature divine de lui donner une dernière chance et la force de le laisser la quitter, s'il ne voulait plus d'elle. Elle pria pour ne pas perdre l'essence de sa vie. Garder son sang froid. La panique s'empara d'elle. Comment avait-elle pu être aussi déconnectée de la vie aux cours des derniers mois? Tout son univers avait perdu son sens. Elle le savait. Elle s'était donnée dans sa moitié à un être à qui, dans un autre temps, elle aurait donné sa vie. Elle s’en apercevait.
Tout à coup, elle sortit, presque oubliés, les cinq derniers mois et tous ses souvenirs : Jack et Lily était fait pour être ensemble. Ils avaient tout surmonté...
Elle était fautive.
Ce jour-là, elle se promit de repartir à zéro. Elle ne savait comment le lui dire et ne lui dit jamais. Par-dessus tout, elle avait découvert en lui son meilleur ami et son meilleur amant.
Depuis le premier jour, elle lui avait dit qu'elle ne voudrait jamais le perdre. Lily lui avait faite la promesse de ne jamais le trahir et ils avaient fait la promesse de pouvoir toujours être apte à se parler et de s'affronter.
Il était son meilleur ami. Il était son complice. Il était sa Vie. Elle voulait qu'il devienne une fois pour tout, son plus grand amour.
Un amour si grand naissait en elle. Un amour si grand se perdait de lui...
S'il devait ne plus l'aimer, si elle devait ne plus l'aimer, ils ne pouvaient que se détester afin de s'assurer de se convaincre qu'il n'était pas fait l'un pour l'autre. S'il ne pouvait être amis, ils ne pouvaient être rien, là où l'orgueil, la délivrance et même les regrets ne furent qu'un...>>

La cerise sur le sundae !


PENSÉE : "La conscience a été donnée à l'homme pour transformer la tragédie de la vie en une comédie." -Démocrite


Qui a dit que faire du changement dans sa vie était toujours positif?

Magnifique journée ensoleillée, beau réveil. Seule.
Je me suis promenée dans les rues de Montréal : de Saint-Laurent à Place-des-arts

J'avais une petite journée de congé : j'allais à mon r-v pour cet "emploi inespéré"!!! Personnel amusant et humain : tout va bien!
Ma journée a bien débuté ! Je me suis levée en retard, je me suis trompée dans mes formulaires à remplir...

Quelle merde!

C'est dans ces temps-là que l'on se dit : "Ta volonté est là et ça ne fonctionne pas : change les choses!"
Comme je ne m'appuie jamais sur mon sort et que je m'efforce de m'entourer de positif, avec un des plus magnifiques sourires sur cette Terre (le mien) je me suis mise à continuer ma route!

Après un peu de shopping au complexe Desjardins, je suis allée faire mon passeport.

Tous les papiers en main, droite devant le petit bonhomme "préposé à l'accueil" du complexe Guy-Favreau : "Mademoiselle, (On le dit encore ce terme, plaisant à mes oreilles gentilhomme) vous avez oublié votre certificat de naissance!"

Quelle merde! Je devrai y retourner demain!

Je pars le 20 avril ( Stand by pour le Panama ou le Salvador ) et je devrai reporter d'une journée de plus l'attente de mon passeport!
"Il vous faut votre certificat de naissance Mademoiselle pour avoir votre passeport canadien!" Hummm ! Attendez. Canadien? Non, vous vous trompez Monsieur, je suis venue chercher mon passeport québécois.

J'ai décidé de faire changement. Pour retourner chez moi, j'ai pris deux bus, j'ai fait trois transferts et j'ai souffert de ce vent glacial du nord-est ! Comme si ce n'était pas assez, je me suis retrouvée dans un quartier industriel où je me suis intoxiquée de poussières de toutes sortes par tous ces camions passant!

Je l'adore ma ville! ... en partie?

En soirée, je me suis faite livrer du shishtaouk ! Petite gâterie, moi qui ne veut pas commander de chez moi habituellement.
Devinez ?
Pas de sauce à l'ail! Un oubli du cuisiner. Non mais à quoi bon bouffer du libanais s'il n'y a pas de sauce à l'ail! Mangez-vous vos "sundaes" sans crème glacée vous?
Ma cerise sur mon "sundae" !

Je me demande bien ce que me réserve ma nuit?

1 avril 2008

Le poisson d'avril II - "Ce ridicule"

Ce soir : je me libère.
J'en ai assez : assez de moi-même.

Il m'arrive d'être parfois très (trop?) fragile.

Comme vu au Imax du Vieux-Port en allant voir les Mummies, les Égyptiens ne momifiaient jamais le coeur des pharaons. Selon eux, "le coeur était le centre de la raison des hommes."
Ma raison, elle est aussi mon coeur.
Je me laisse emporter par mes intincts le splus primitifs, non pas seulement car je suis scorpion et tralalala et je ne débattrai pas là-dessus.
Mon côté très attaché à ceux que j'aime, très sensible au monde extérieur comme à mon monde intérieur me rend parfois ... ridicule.

Ridicule aux yeux de qui?
Aux yeux de ceux qui vivent de superficialité, qui ne vivent pas de ressentis et qui sont parfois trop centrés sur eux-mêmes ! Doit-on les blâmer? Non. La société est telle qu'elle construit l'Homme. Je ne me place pas au-dessus, je dis seulement que je ne vie pas dans le même monde qu'eux...
Je l'accepte.

Un jour, une certaine personne nommée "PS" a croisé mon chemin et m'a remise en question me disant que "le monde n'était pas un champs de marguerites" dans lequel nous pouvions nous amuser, etc. J'en suis totalement consciente.
Au-delà de tous ces cours optionnels de politique et d'enjeux sociaux auxquels je me suis déjà inscrite, je comprends et je sens, vois et respire CETTE réalité. Cependant, je vie tel que mon monde sera ce "champs de marguerites".

Je ne sais parfois pas sur laquelle de mes personnalités tiraillées me tourner, certes, mais je sais une chose : mon monde, il est bon et doux. Pour moi, ma famille, mes enfants tant espérés.

Aux cours des derniers mois, j'ai vécu de ridicule. Je me suis perdue.
Ça a commencé par un changement physique qui m'a limité et changé mon mode de vie l'été dernier. De l'insomnie, la pire session scolaire ( en fin de programme) dans laquelle je me suis tuée! D'un hiver où, sans le sous, j'allais passer un congé de bonheur, reposée et en forme auprès de l'homme que j'aime! ( j'appréhendais ce moment)
Parcontre, je n'aurai jamais pu me reposer... rien de cela n'est arrivé!

Cet hiver là, j'ai perdu l'ensemble de ma vie : une session d'école et un dîplome, l'Amour de ma vie, ma Raison et le fruit de mon ventre.
Je suis partie dans un autre univers de débauche duquel par ma force intérieure, j'ai pu en sortir. Par contre, tout ce que j'ai perdu : jamais rien, ni personne, ne pourra le remplacer.

J'ai toujours été quelqu'un de "bon" jusqu'à ce dernier été. Jamais de rancune, je tente de justifier et de trouver des raisons à tout.
Cependant, la vie m'a rendu à ce quart de siècle où j'ai du faire une "prise de conscience" qui ne s'est pas déroulée dans la tranquilité!

Et pourtant, à travers tout cela, j'ai grandit!
À travers un Super Homme j'ai pu me découvrir. Il a été là pour moi jusqu'au bout.
Jusqu'à temps qu'il n'en puisse plus.
Je lui serai éternellement reconnaissante.
J'aurais souhaité (non d'un amour passionnel, mais d'un amour sage et grandit) lui donner entièrement ma vie devant Dieu et croire en un "mariage", un mariage de nos vies.
J'espère qu'un jour, il se souviendra de celle qui aura fait battre son coeur mais qui n'aura jamais su être à la hauteur dans un "espace temps présent".

J'en suis au quart de siècle et je dois maintenant laisser tomber mon coeur pour apprendre à vivre avec Raison.

Demain est le premier pas pour ma nouvelle carrière.
Enfin, une profession désirée s'ouvre devant moi et la stabilité qui s'en suit.
Enfin, je promettrai de reconnaître les erreurs de ma vie et de ne pas les répéter.
Je prierai toujours pour vous, mais cette fois-ci je prierai pour moi.

Aujourd'hui, j'ai fait le choix de laisser partir mon passé et d'être mon présent.

Ce soir, j'ai compris que je ne pouvais rien changer à mon passé et que je devais respecter les autres.

Condor, ma constellation, m'indiquera toujours le chemin que je dois suivre. À travers une vie de malchance j'ai toujours eu beaucoup de chance.

À toi, mi angelito:

Apprendre de ses erreurs est tout un art pour moi. Apprendre à ne pas commettre l'erreur est-elle de mise?
Non.
Je n'aurai jamais vécu ces derniers moments "à fond", je n'aurais jamais pu l'aimer comme j'aurais voulu l'aimer et je ne verrai jamais ses yeux d'Ange qui sont la combinaison des siens et des miens. ...

Demain, je tenterai d'avoir oublié. Parce que ce soir, à travers ce "ridicule", j'aurais compris que j'aurai perdu l'essentiel.

L'essentiel c'est d'être aimé.

Le poisson d'avril ( 1 1/2 : prise de conscience)


PENSÉE : "Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux." -Proust

Nous sommes le 1er avril!
Je déteste cette journée. Si seulement je pouvais jouer quelques tours aux gens autour de moi, cela serait plaisant. Par contre, manque de créativité, je ne sais sur quoi blaguer.

Avez-vous remarqué comment tous les gens sont aux aguets autour de vous? Il n'est pas possible de raconter une histoire sans que l'on vous prenne au sérieux! Par exemple, nous étions cinq à expliquer à mon patron ce matin que la tuyauterie des toilettes avaient sauté et cela a pris une bonne heure d'argumentation pour qu'il aille voir le dégât, convaincu de notre manigance!

Début de la fin la fin de l'histoire : La prise de conscience

<< ... sa chance. Il était un être entêté et croyant. Croyant, s'auto-conditionnant lui-même. Il était comme elle. Ce soir-là, il lui dit: "Non." Il venait de répondre à cette question qui nous déchire plus que tout autre, s'il l'aimait encore. Persuadée, elle savait qu'il mentait. Encore aujourd'hui, elle le savait. Indéniablement, n'avait-elle pas tout fait pour le faire partir? Encore une fois, elle ne voulait pas se faire aimer de lui. Son passé avait été si lourd qu'elle ne croyait pas vouloir être aimée. Pouvoir être. Ce soir-là, elle l'avait bel et bien perdu. Elle en rajouta une dernière fois, une fois de plus. Priant de tout son être qu'il comprendrait pourquoi elle avait agit comme elle était.
Il était comme elle, elle est comme lui. >>

31 mars 2008

1ère journée de printemps ( 1 et 1/2 : Fin )

PENSÉE : "L'amour est cette merveilleuse chance qu'un autre vous aime encore quand vous ne pouvez plus vous aimer vous-même." -Guéhenno

1 et 1/2

<< "Il en a toujours été ainsi de l’amour, il ne connaît sa véritable profondeur qu’à l’instant de la séparation." Ils ne se dirent jamais la vérité. Ils ne se parlèrent pas. Ils rompurent. Rompre comme la tornade emporte tout sur son passage. Sans n'avoir le temps de s'en apercevoir, ne pouvant que constater les dégâts. Ils moururent comme ils ont vécu. >>

Fin.



Quelle magnifique journée ensoleillée sur Montréal. Comme bien d'autres, je n'ai pu m'empêcher de faire une sortie à l'extérieur en mon endroit préféré. Les rues ne sont pas trop achalandées et me semblent même désertes sans ces terrasses.


Le vent est toujours aussi glacial.
Nous nous sommes arrêtés manger au Restaurant du Vieux-Port (http://www.restaurantduvieuxport.com) au coin de Saint-Paul et de Saint-Gabriel. Prix exhorbitant mais goût si exquis. Jamais je n'ai goûté une épice si raffinée. Peut-être je ne sors pas assez souvent ? De plus, des calmars frits endiablés!
Par la suite, nous sommes allés voir le début de l'histoire : Mummies au Imax.
Malchance, il était en 2D! Assez lourd et trop général, il nous faudra sûrement attendre "Mummies 2" pour avoir des explications. Par contre, voyage au centre du Grand Canyon en 3D, documentaire sur la séchèresse de la Terre et voyage au centre de ces grands cours d'eau... je me hâte de le voir!

26 mars 2008

1 et 1/2 : épilogue


PENSÉE : "Si vous savez voir le bien dans les gens qui vous entourent, vous rayonnerez de toute l'harmonieuse énergie de l'amour, qui contribuera à les grandir davantage.Si vous savez entretenir cette habitude, cette énergie se changera en un flot d'amour perpétuel."
-Annamalai Swami


Je voulais aborder un sujet depuis quelques jours : l'amour.

Je crois que je parlerai tellement souvent de l'amour que je ne sais pas quel titre donner à ce message.

L'amour ...

Ça peut porter une infinité de noms.


Je ne crois pas être prête à prendre ce recul et je me demande à quelle peine ?

Par contre, si je le fais c'est parce que je reste persuadée que l'union d'un yin et d'un yang en totale harmonie n'ont simplement pas pu (...)
("La parenthèse est l'île du discours" -Victor Hugo)


Il y a de cela quelques semaines, j'ai perdu un être cher.
Très cher, trop cher.
Vous savez comment c'est: <<>>


Pour ma part, je savais déjà. Une crise de panique et d'égoïsme arrosée d'évèments tristes sont venus à bout de moi. De nous. De lui.
Toute ma courte existence, j'ai toujours su ce que je voulais, qui je voulais, comment je le voulais.
Étrangement, le jour où je l'ai eu... j'ai voulu tester à savoir si tout cela était réellement ce que je désirais.
Vous reconnaissez-vous?

C'est pourquoi je dédie les prochains jours de mon blog à vous raconter ce qui a rempli mes pensées au cours des derniers temps : ma dernière histoire d'amour.
L'écriverai-je ou non? Qui sait?

Ce que je tenterai d'expliquer (de m'expliquer) c'est comment l'on peut rencontrer le parfait âme soeur, prendre le temps et vivre les grands moments d'une vie à deux, à parler et à se rejoindre, à s'isoler contre le monde afin de bâtir un monde tout en ne désirant que chercher la bonne faille pour que cet univers bascule ?


Ce fût une courte histoire mais une très belle histoire qui ne commençait à peine à pouvoir s'épanouir jusqu'au jour où (...)
Je l'intitule ?
Après l'avoir écrite, je lui aurai peut-être trouvé un nom.


À suivre.



25 mars 2008

Les mal habiles et la "mauvaise main"

PENSÉE : "Les vraies sciences sont celles que l'expérience a fait pénétrer par les sens et qui imposent silence à la langue des argumentateurs, et qui ne nourrissent pas de songes ses investigateurs (...)" - Leonard De Vinci

Quelle journée au travail!
En me relaxant devant une revue à pottins, mon regard s'est arrêté sur un article parlant de célébrités "gauchères"!

Étant ma dominante-même, j'ai toujours été intriguée par l'histoire de la main qui n'est point celle de Dieu.

Médecins, psychologues ou analystes ont longtemps parlé des caractéristiques de la "mauvaise main."
Plusieurs théories ou études à travers le temps ou définis les gauchers comme étant des êtres créatifs, artistiques, profonds, mystérieux, "leaders", philosophes, solitaires, empathiques etc.
Selon certaines pensées, les gauchers utiliseraient, par leur dominance, l'hémisphère droit de leur cerveau où l'on retrouve les zones sentimentales, communicatives et artistiques, contrairement au droitier qui ont une plus grande aptitude par exemple, pour les mathématiques.

Par chance de nos jours, nous ne sommes plus "forcés" à enfouir notre notre personnalité sous la tutelle de la main droite lorsque nous sommes gauchers. Dans l’histoire des gauchers, selon les époques et les découvertes de la médecine, les gauchers ont toujours été des victimes. Victimes de la religion : la gauche représentait le mal et les dérives de la raison. Il y a cent ans, on obligeait les enfants à écrire de la main droite et on leur attachait la main gauche. On contredisait la nature humaine en somme. Des études du début du XX siècles allaient même jusqu'a considéré qu'ils étaient des personnes qu’il fallait enfermer dans des hôpitaux, des personnes attachés à faire le mal, des criminels, des tueurs, des violeurs, etc. Bref, les gauchers étaient présentés comme des êtres humains "non conformes", des "gens à l’envers."

Bien que nous sommes maintenant outillés avec un tas d'accessoires qui nous facilent la vie, il reste encore bien du chemin à faire avant que nous soyons à l'aise.

Combien de fois vous a-t-on traités de "sale" à la petite école ou à la remise de travaux parce que lorsque vous écrivez votre main glisse sur L'encre non-sèche de ce que vous venez d'écrire et que votre feuille est toute barbouillée?
Vive la frappe et le clavier!
Combien de gens s'étonnent encore et vous disent: " Ah ! Mais tu écris de la main gauche! " ?
Ou encore : " Tu écris bien pour un gaucher!" ?

Pour revenir à ma revue, Leonard de Vinci, Michel-Ange, Nicole Kidman et Jimi Hendrix étaient gauchers. Cependant, de grands criminels, tueurs en série et fous aussi !
Bref, en connaissez-vous d'autres?

Sans me souvenir de ma source, j'ai entendu dire qu'on estimait la population mondiale entre douze à quinze pourcent de gauchers.

Pour ma part, quelle chance dans ma malchance ... scorpionne et gauchère. Quel mélange!

24 mars 2008

Les histoires de Miss.Jones

PENSÉE: "Agis donc de telle sorte que tu traites l'humanité, aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre, toujours en même temps comme une fin, et jamais simplement comme un moyen." -Emmanuel Kant


Il est probablement près d'être cinq heures du matin lorsqu'un bon ami à moi brise la "vibe techno" qui guide mon corps pour me dire qu'il m'a lu. Il me demande quelle sera l'emblème de mon blog...

Miss.Jones :

Loin de moi l'idée de donner une couleur caractéristique à ce site.
Pur divertissement.

Bien sûr, je n'écarte pas les possibilités que l'on y retrouve quelques saveurs politiques, philosophiques, culturelles, etc.

Ce que je vous livrerai : ce sont mes visions et mes états d'âmes.
Un élément de ma journée ou de ma nuit.

Pour vous ce ne seront que des histoires. Pour moi, cela sera des réflexions, une sorte de journal intime non trop intime.

23 mars 2008

La parapsychologie et moi - Au travail



PENSÉE : "C'est pour tenter d'exorciser la mort que les hommes ont construit de belles croyances sur l'immortalité de l'âme et de sa destinée dans l'au-delà, au mépris de cette vérité fondamentale que l'individualité n'est qu'apparence éphémère."-Fernand-Lucien Mueller

Plus que pour "exorciser la mort" et que de "défendre leur individualité", l'au-delà ou la vie après la mort ou la vie parrallèle à la vie sont-ils réels?

Que vous le saviez ou non, mes goûts pour le mystère, les sciences occultes, le karma, l'astrologie et la philosophie sont parties intégrales de moi depuis ma tendre enfance. Tendre?
N'oublions pas que mon signe astrologique est scorpion et quel tel en est mon destin.
Spirituelle vous dites?

Déjà dans le ventre de ma chère maman, je lui faisais vivre toutes sortes de phénomènemes dits "étranges." Au fil des ans, les phénomènes n'ont fait que se multiplier. De moi-même, j'allais être confronter à cette réalité dite "familiale."

Ce soir, j'ai vécu une de ces histoires au travail...

Elle apparait dans la cuisine vers 20 heures. "Vite, enfin vous êtes là, venez dans ma chambre, ELLE a besoin d'aide!" me lance-t-elle, essouflée.

Madame G-S est une toute petite femme discrète, autonome qui a bien et bel "toute sa tête." Presque qu'aveugle, elle a de la difficulté à se mouvoir et utilise une "marchette." Jamais elle ne se déplace pour "rien."

Depuis quelques mois, elle occupe la chambre #12, depuis le départ de Madame Chocho qui est partie dans un établissement psychiatrique parce qu'elle était la seule à parler à une jeune femme, dans sa chambre, tous les soirs. Pauvre Madame Chocho, elle était si convaincue de discuter avec une amie. Psyzophrénie.

Avant elle, Madame Jo passait aussi ses nuits à se lever et à parler. Les gens sont "sains d'esprit" ... à croire que la chambre #12 les rend dingues.

J'entre dans la chambre de Madame G-S et il n'y a personne. Je replace son fauteil qui est tourné contre le mur, je trouve que sa chambre a besoin de "ménage." "Il n'y a personne Madame." dis-je et elle retourne dormir.

"Bizarre." Madame G-S a à peine du mal à se lever pour venir dîner alors je suis surprise de la voir debout. Cauchemar?

Après quelques minutes, je retourne donc à sa chambre. Le fauteuil est encore déplacé. Je croyais pourtant l'avoir remis à sa place. Elle me demande si j'ai retrouvé la femme. "Oui, je l'ai raccompagné à sa chambre! C'était une personne âgée comme vous qui cherchait son lit." dis-je pour la rassurer. "Non! C'est une jeune fille. Elle ne veut pas me dire comment elle s'appelle, elle s'est assise, mais elle m'a dit qu'elle vivait ici depuis des années et qu'elle avait vraiment besoin que nous l'aidions!" me dit cette chère dame.

Une jeune fille. Madame Chocho parlait aussi à une jeune fille...

C'est le genre d'histoire dont je vais me détacher. Pourquoi? Parce que j'y crois.
Non pas parce que j'en ai peur.
Ce que nous ne savons pas ne nous atteint simplement pas. Ferrucci citait: "Je choisis une vie de malheur et de connaissances plutôt qu'une vie de bonheur et d'ignorance." Si je cherche une explication à ce phénomène, je pourrais y passer une vie. Si je cherche une explication à ce phénomène, je devrai revoir toutes les notions et valeurs qui rédigent ma vie depuis qu'on me les a inculqué. Je remettrai en question mon existence-même. L'on me jugera.
(Bien sûr, je le fais déjà du haut de cette Tour d'Ivoire depuis fort longtemps.)

Cet incident remet en question bien des choses en ce jour de Pâques. J'ai la Foi.
D'un autre côté, je crois fermement en cette vie parrallèle. L'humanité est ainsi prise entre ces réalités opposées.

22 mars 2008

Je me re-présente

Il y a de cela quelques temps, j'avais fait une première tentative de blog.
Une certaine personne qui m'était cher m'y avait incité.
Après avoir vécues quelques mois assez intenses en émotions de toutes sortes, je reviens donc en force et grandie.
Nouveau départ. Nouvel horizon. Beaucoup de réaliser, beaucoup à réaliser.
Je ne connais pas encore à quelle fréquence je viendrai me dévoiler.

J'ai fait plusieurs erreurs dans ma vie. Plusieurs mauvais choix mais aujourd'hui je me connais en ce jour et je ne craints point d'être jugée.

Laisse-moi un peu de temps pour me réchauffer.
Je souhaite que vous aurez du plaisir à me découvrir...
En aurais-je aussi ???