Qui êtes-vous ?

DownToMissJones - Insatiable et persuadée. La complexité simple ou la simplicité complexe. Langue en bouche ou langue de cannes.

26 mars 2008

1 et 1/2 : épilogue


PENSÉE : "Si vous savez voir le bien dans les gens qui vous entourent, vous rayonnerez de toute l'harmonieuse énergie de l'amour, qui contribuera à les grandir davantage.Si vous savez entretenir cette habitude, cette énergie se changera en un flot d'amour perpétuel."
-Annamalai Swami


Je voulais aborder un sujet depuis quelques jours : l'amour.

Je crois que je parlerai tellement souvent de l'amour que je ne sais pas quel titre donner à ce message.

L'amour ...

Ça peut porter une infinité de noms.


Je ne crois pas être prête à prendre ce recul et je me demande à quelle peine ?

Par contre, si je le fais c'est parce que je reste persuadée que l'union d'un yin et d'un yang en totale harmonie n'ont simplement pas pu (...)
("La parenthèse est l'île du discours" -Victor Hugo)


Il y a de cela quelques semaines, j'ai perdu un être cher.
Très cher, trop cher.
Vous savez comment c'est: <<>>


Pour ma part, je savais déjà. Une crise de panique et d'égoïsme arrosée d'évèments tristes sont venus à bout de moi. De nous. De lui.
Toute ma courte existence, j'ai toujours su ce que je voulais, qui je voulais, comment je le voulais.
Étrangement, le jour où je l'ai eu... j'ai voulu tester à savoir si tout cela était réellement ce que je désirais.
Vous reconnaissez-vous?

C'est pourquoi je dédie les prochains jours de mon blog à vous raconter ce qui a rempli mes pensées au cours des derniers temps : ma dernière histoire d'amour.
L'écriverai-je ou non? Qui sait?

Ce que je tenterai d'expliquer (de m'expliquer) c'est comment l'on peut rencontrer le parfait âme soeur, prendre le temps et vivre les grands moments d'une vie à deux, à parler et à se rejoindre, à s'isoler contre le monde afin de bâtir un monde tout en ne désirant que chercher la bonne faille pour que cet univers bascule ?


Ce fût une courte histoire mais une très belle histoire qui ne commençait à peine à pouvoir s'épanouir jusqu'au jour où (...)
Je l'intitule ?
Après l'avoir écrite, je lui aurai peut-être trouvé un nom.


À suivre.



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